Commentaires d'internautes sur Amazon concernant les livres de Marc Lévy... Afin d'être le plus transparent possible, je n'ai mis là que les plus négatifs... Avec mes commentaires (en rouge)... tout aussi nuls que les livres de Marc... Et pour faire hurler les féministes, je constate que ce sont des femmes qui le lise et l'adule... et des hommes, pour la plupart des commentaires négatifs, qui le critique parfois assez ouvertement...
Je n'avais jamais lu un livre de Marc Lévy mais (menacé de mort par une amie) Même menacé de mort je ne lirais pas du Marc Lévy (du moins les deux premières pages suffisent) j'ai tenté avec celui-ci. [c'est-à-dire Le voleur d'ombres] Consternant est le premier mot qui me vient. L'écriture est d'une médiocrité ahurissante. Intéressant à lire pour savoir ce qu'est l'envers de la littérature et constater le niveau d'analphabêtise en France. La bêtise tout court suffit, restons simple et efficace, que les lecteurs de Marc comprennent...
C'est mal écrit et assez peu intéressant. Là-dessus nous sommes d'accord...
Je me suis toujours demandé comment certains auteurs faisaient pour percer (Dan Brown, Marc Levy, Stephenie Meyer, etc). D'accord, il faut vouloir faire de l'argent, mais pourquoi ce sont toujours ceux dénués de talent qui y parviennent ? Cela reste un grand mystère. Non, c'est simple... la connerie est le sport national, et on est représenté par le champion... Plus y a de cons, mieux ont rit... (ah, ah, ah... )
En résumé, ce type est une honte et une escroquerie, et son livre est à son image. Et aussi à celle de la France, malheureusement...
Il y a beaucoup mieux, beaucoup plus important et beaucoup plus urgent à lire.
Le commentaire suivant résume d'une part les méfaits de la mondialisation de la culture, et d'autre part le mauvais chemin emprunté par la langue française (oui, la langue française chemine, et si elle est guidée par une inusable machine à débiter des conneries, l'humanité est sauvé).
C'est mon premier Marc Lévy, et je n'en lirai pas d'autres. C'est la bonne nouvelle de l'année, ça fait un lecteur de moi pour lire un écrivain sans cerveau (eh, oui... y a ceux qui pense avec leur cerveau et ceux qui pense avec autre chose...) Je ne l'ai d'ailleurs pas terminé, ce qui ne m'arrive jamais. Marc Lévy n'est déjà pas terminé, donc cette attitude est tout à fait normale. On sent les ficelles internationalistes -francophobes et parisianophobes - dès la première page. Non, non, c'est bien français... pur produit, et la marque est déposée... Sachez-le donc: Paris est bruyant, ses habitants sont impolis, du commerçant au chauffeur de taxi (comme c'est original) et Londres est un havre de civilisation, de respect d'autrui et de bonne humeur. En effet, les Anglais ne veulent même pas répondre quand on parle pas leur langue universelle, alors que nous on baraguine la leur, c'est déjà plus correct... J'imagine déjà le lecteur américain/allemand/anglais/espagnol/chinois... qui a acheté ce bouquin par hasard dans un hall d'aéroport, descendre de l'avion quelques heures plus tard, conforté dans ses certitudes stéréotypées envers les français. Bon, passons. Restons-y, oui... Avant de déplorer que des étrangers sans papiers viennent chez nous, attaquons-nous à ces cerveaux empaillés... ça fera un sacré vide à combler pour nos pauvres voisins d'infortune...
Marc Lévy écrit comme vous et moi; il n'a pas de style. Non, non, excusez-moi... il écrit comme vous peut-être... J'ai au moins le mérite d'avoir eu 4 en anglais au bac et 14 en littérature... Marc Lévy ne connaît même pas le mot... La syntaxe et le lexique sont fonctionnels, dénués d'âme et engendrent très vite l'ennui. Sérieusement, il aurait eu 18 en français au brevet des collèges, mais je me demande ce qu'il aurait fait sur un tel sujet : je pense, donc je suis... La langue française y est réduite à sa plus simple expression, sans doute afin de faciliter la tâche aux traducteurs de tout poil qui devront achever leur labeur en quelques jours. Les dialogues sont plats, les personnages sans relief, l'histoire insignifiante. Marc est insignifiant, son lectorat est ouvertement humilié, et tout il est en tête des ventes... c'est français, purement français...
Il parait que Marc Lévy est l'auteur français le plus vendu dans le monde. Mais si l'homme est français, l'écrivain est apatride. Il pourrait venir de n'importe où dans le monde. Ce roman, c'est la littérature de la mondialisation, de l'uniformité, de la disparition des particularismes. Et c'est une horreur. Avoir un Hongrois naturalisé aussi, surtout à l'heure où on expulse des citoyens européens et où l'on chasse des français...
Un visionnaire... Je dors, je ne dors pas, je ronfles, je ne ronfles, et pour finir, je ne penses pas... (non, non, je n'ai rien oublié).
Il ne se passe rien avant la 131ème page. La vie des personnages immatures est d'une grande banalité. je t'aime, je ne t'aime pas, je reste, je pars. que m'arrive t-il, je suis amoureux, non, il ne faut pas!!!
un roman d'ado! En effet, et encore, pour certains aujourd'hui, cela donne : je t'aime, je ne t'aime pas, je restes, je casse la gueule de ce bouffon et je viole cette sale vache... C'est encore moins romantique... mais plus réaliste.... Marc a oublié de ce recyclé...
très décevant
Il est bien écvident, chers lecteurs de ce blog, que mes commentaires n'engagent que moi et que je caricature exprès, afin de rester à la hauteur de Marc Lévy... Une question me taraude : dans deux siècles, ques restera t-il de Marc Lévy ? Un cerveau, un rateau, ou une enclume ???!!!